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 Aphrodite CoulCris.

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AuteurMessage
Aphrodite CoulCris
Aphrodite CoulCris

Féminin
Messages : 3
Localisation : La tête dans les nuages, les pieds sur Terre
Emploi : A préciser


Aphrodite CoulCris.  Vide
MessageSujet: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeSam 8 Jan - 17:41

Fiche de Présentation

Aphrodite CoulCris.  Image au choix
    PRENOM : Léa
    ÂGE : 18 ans.
    EXPERIENCE RP : J'en ai fais il y a un an environ et l'envie me prend de recommencer.
    AVIS SUR LE FORUM : J'adore le design et l'histoire est accrochante.
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Top-Sit
    AUTRE CHOSE A AJOUTER ? : Bonne lecture !

NOM
PRENOM


ÂGE : 20 ans
NOM DE CODE : A venir avec l'avancée dans le forum.
NOM : CoulCris
PRENOM : Aphrodite
ETAT CIVIL : Mademoiselle
PROFESSION : Étudiante en psychologie et science des comportements
ARME(S) ET POUVOIR : A venir pour ce qui est des armes, avec l'avancée dans le forum. Son pouvoir ou plutôt talent est de faire preuve d'une empathie hors du commun. Cela lui permet de comprendre énormément de monde par leur comportement et leur gestuelle. Interprétant chaque expressions du visage ou du corps pour s'aider à savoir, mais aussi pour distinguer de futurs agissements. Bien sûr, il lui arrive de se tromper, notamment quand elle ne gère pas ses émotions.
NATIONALITE : Grecque.


(IMAGE DE VOTRE PERSONNAGE) [img][/img]


Description
Physionomique


Un homme entré dans ses griffes parmi d’autre dans son passé :
« On se regarde, elle et moi. Un instant où je ne m’y attends pas, elle me fixe avec intensité, puis me couvre la vue. Ma main alors se laisse guider sur son corps.
Je souris tout en passant une main habile dans ses cheveux verts émeraude. Cheveux si fins, qu’à la seconde où mes doigts les touchent, ce n’est pas moi qui les effleure, mais eux qui m’offrent cette intense caresse. Si doux et brillants ; j’aime m’y perdre. Mes doigts glissent sur son front. Petit, et ridé lorsqu’elle fronce les sourcils pour me gronder comme un enfant durant un nuit d’ébat. Je n’irai pas jusqu’à dire que j’aime l’énerver, car elle n'est que plus belle ; mais j’affectionne la voir en colère contre moi, pour avoir un moment de réconciliation magique après cela. Mes doigts passent sur ses minces et soigneux sourcils de même couleur que ses cheveux, puis se déposent alors sur ses yeux, sans lui fermer. J’en fais le contour et trouve qu’ils ont une forme d’amande, qui me donne envie de les embrasser sur le coin. Elle a les prunelles couleur d'automne. Mais je ne saurai jamais vraiment les décrire. Ses yeux reflètent tellement ses humeurs changeantes. De la tempête de tristesse à l’amour électrique. De la déchirante colère à la parfaite compassion… Tout cela dans un jaune parfait.
Mon index passe en dessous de ses yeux, qui se font caresser par les battements des cils de cette belle grecque. Il prend la courbe de son nez qui a un dessin légèrement arrondi au bout. J’admire tout particulièrement lorsque ses yeux versent des larmes, et que ce petit nez fronce sous la peine que j’essaie de lui enlever à la chaleur de mon âme. Mes doigts recroquevillés continuent leur lancée sur sa joue, un peu bombée mais si charmante à mon goût. De nature à rougir facilement, ses joues prennent une couleur délicieusement rosée lorsque je la complimente en la dévorant du regard. Mes doigts se déposent sur ses lèvres, sur lesquelles je passe plus de temps. Elles sont très bien dessinées et d’une couleur rouge sang. Lorsque j’arrive à la faire sourire et qu’elle dévoile ses blanches dents, elle me fourni un immense bonheur. J’adore l’embrasser. D’ailleurs ! Après un long baiser, elle se morde de temps à autre la lèvre inférieure, me montrant son envie de recommencer. Ses lèvres humides me ramène au moment présent et me donnent envie de lui voler un baiser, mais je m’abstiens, et continue mon parcours. Je glisse sur son menton. Celui-ci n’a aucun creux. Cette fois-ci, je ne me retiens pas et y dépose un baiser. Une main affective passe sur ma joue, mais celle sur mes yeux reste en place. Une main si rassurante et exquise. Elle possède les doigts fins et longs. De longs ongles manucurés montrent sa coquetterie et féminité qui prennent une tournure tout autre lorsqu’ils me griffent durement le dos. Ma main descend à son cou si élancé et chaud de la chaleur de notre lit. J’éprouve un apaisement à chaque fois que je lui passe la main dans le cou après une longue nuit de dispute, et que j’ai son pardon après mille et une luttes pour la reconquérir. Ma main touche ses épaules si exquises et sensibles à mes doigts qui la frôlent, que je sens le frisson la parcourir. Je descends le drap noir qui cache sa poitrine ferme et blanche. À ce moment précis, je la désire intensément. Ma main passe entre ses seins bien dessinés et en forme de poire. Je veux faire durer ce moment si intense qui se déroule entre nous. Je passe sur son ventre, avec son petit nombril décoré d’un piercing simple à deux boules vertes que je lui ai offert pour son 18ème anniversaire. Son ventre est plutôt plat, mais avec les hanches qu’elle possède, cela lui donne de jolies formes ; car il est vrai qu’elles sont larges. Sa peau est très douce par ailleurs, et cela ne fait qu'accentuer ma convoitise de la saisir entre mes bras.
Oui on peut le dire, je suis absolument dingue de cette fille.
J’enlève ses doigts de mon visage pour me mettre sur elle et l’embrasser.
Je me relève un peu après un baiser langoureux pour la regarder, ses longs cheveux en bataille sur l’oreiller blanc, son sourire un peu gêné de la position qu’elle tient, ses joues virant aux rouges, ses yeux noisette qui me transmettent son souhait… Et auxquels je ne peux résister.
Le reste de la description restera entre elle et moi. À mon goût, je ne l’ai déjà que trop partagée. »




Description
Psychologique


A venir.



Récit
Biographique


CHAPITRE I
Journal de Dr CoulCris.


Novembre 2073 : Accident de Hope Creek (USA).
Une centrale explose faisant bien trop de morts et de blessés. Les Etats se disputent à savoir qui sont les ‘sains’ et les malades. Des corps vivants ou mort, affluent dans le laboratoire et je ne sais plus vraiment où donner de la tête.

Aout 2085 : Une réception bien étrange.
J’ai reçu aujourd’hui un ‘coli en pierre’ très étrange. J’ai d’abord refusé, avec cette catastrophe, j’ai petit à petit cessé mon travail de médecin pour baser mes expériences et me convertir en chercheur ; mais ces gars étranges, habillés en trois pièces impeccables, le teint fraichement rasé ne m’ont pas laissé la possibilité d’interdire son entré dans ma demeure. Je l’ai donc installé ici, à côté de mon poste de recherche en verre. Les seuls précisions que j’ai pu obtenir est qu’elle venait de Grèce, pays lui aussi touché par l’explosion de la centrale. J’ai pu entendre dire que la roche cernait en son cœur un élément, mais que l’ouvrir en était impossible. Sans plus d’informations, je n’y ai pas touché. Je l’examinerai quand le temps viendra. Pour le moment, mes recherches se basent exclusivement sur le clonage.

Novembre 2085 : Plus de stupeur qu’autre chose.
Aujourd’hui j’ai bien cru avoir entendu crier la roche, comme ci l’on renfermait quelque chose de vivant à l’intérieur. Les poils de mon dos sont encore dressés. Je me demande dans quelle pagaille je me suis encore logé.
J’ai tout de même fait de brèves recherches malgré mes expériences sur la duplication, mais mes attentions de recherches sur internet ou sur la base de donnés mise en commun par tous les médecins ne se sont pas avérées fructueuses. Personne ne sait véritablement ce que peut contenir dans son ventre cette structure bien étrange. Rien de bon qui vaille. Je vais surement faire une étude plus approfondit sur la pierre en elle-même et tenter de l’ouvrir.

Janvier 2086 : Parce qu’il faut des explications.
Le compartiment révèle enfin des explications ! Après plusieurs examens, dont j’allais abandonner à cause de l’absence de résultats, une personne toute aussi mystérieuse que ce coli m’a expliquée sur le net. La pierre renfermait une soute cryogène . Généralement pour y mettre un corps, humain ou animal afin de le garder en parfait état et d’ainsi, à l’ouverture de celui-ci, délibérer le corps enfermé. C’est un procédé que peu de personnes connaissaient et qui a eu un effet de mode dans les années 2000 où les personnes malades ou sur le point de mourir décidaient d’entrer dedans. Le but était simple : Avec l’espérance, les personnes mettant une fin temporaire à leur jour se voyaient renaitre dans l’avenir grâce aux prouesses techniques qui évoluent chaque seconde. Ainsi les personnes mourantes se voyaient la possibilité de se faire offrir une seconde vie. Pour le sarcophage technologique, la roche avait dû le cerner faute d’entretien digne. En clair, une personne à l’intérieur de la matière solide attendait la vie depuis bien trop longtemps.
J’en ai souri lorsque j’ai lu ces explications qui me semblaient grotesques. Pourtant, lorsque j’ai tapé sur la pierre qui faisait de la structure un bloc de roche plutôt qu’un espace de survie, j’ai été forcé d’admettre que le raisonnement était vrai. Le granite ne mit pas beaucoup de temps à céder sous mes martèlements, tombant à mes pieds et libérant une vitre verdâtre. J’ai pris le soin de délivrer celle-ci de toute la matière étrangère. Le cœur de la demeure temporaire était totalement sombre et semblait dépourvu de vie. Je décidais d’arrêter après avoir retiré toute la roche et examiner le contenu quand je comprendrai avant le support. La technologie de pointe à cette époque qui se présentait à moi me semblait particulièrement mystérieuse et intrigante.

Mars 2087 : Un oubli bien trop long
Une main s’était collée à la paroi froide, laissant apparaître de tendres et longues phalanges… et me poussa à manquer de m’évanouir ! Je me suis rapproché après avoir repris mes idées et j’ai posé d’instinct mes doigts sur les siens, bien que la vitre sépare notre contact. J’approchais mon visage de la structure pour mieux apercevoir l’intérieur, mais rien ne se délivra à moi. Seul mon reflet de vieux chercheur aux cheveux blancs et mal coiffé se donnait à moi. Les doigts avaient disparurent entre temps. J’étais de nouveau seul dans mon laboratoire. Je reculai d’un pas, puis de deux. Dans mes recherches, j’avais remarqué le logo d’une colombe en bas de l’armoire froide. J’étais tellement capturé par l’image de ses doigts de femme qui se posait sur la vitre sale que j’en avais l’impression d’entendre son cœur qui battait dans toute la structure. Je déglutis péniblement alors que mes yeux plongeaient sur cette vitre verte foncée. C’était vivant et on me rappelait de ne pas abandonner mes recherches sur elle que j’avais trop délaissées pour la mission du clonage que l’État m’avait demandé d’approfondir. J’ai attendu quelques minutes, qui paraissaient n’être que des secondes dans l’espoir de revoir la vie à travers cette soute cryogénique qui gardait la vie en elle.

Décembre 2087 : Un moment de doute
Son cœur battait depuis l’épisode de la main sur la vitre en moins. Je l’entendais tantôt battre à la chamade quand mes yeux se posaient sur la vitre olivâtre, tantôt battre lentement lorsque la nuit tombait, nous plongeant dans un noir provisoire. Pourtant, je ne cherchais pas à la délivrer de cette prison. Je n’osais pas. L’inconnu se livrait à moi à bras ouvert alors que je ne voulais pas blesser la personne à l’intérieur. Peut être cela provoquait bien l’inverse. J’aurais aimé en plus d’entendre son cœur battre au rythme des saisons, pouvoir cerner ses pensées, ses dictées sur le comportement que je devais avoir avec elle.

Février 2088 : C’est une femme
Alors que j’étais allongé sur le côté, gardant un œil sur la vitre, l’autre qui partait dans le pays des songes, mes sens s’alarmèrent. Son cœur qui raisonnait prêt du mien se mit à battre si vite que l’allure de ma respiration devenait saccadée. J’accrochai ma main sur ma vieille poitrine en me redressant avec peine. Je fixais le sarcophage. Le seul bruit qui déchirait la pénombre était ma respiration devenant de plus en plus forte. Au final, je me lève, sortant totalement de ma fatigue. Arrivé après une marche lente vers l’inconnu, je posais une main tremblante sur la vitre qui fut rejointe instantanément par la main d’une femme. Mon cœur cessa complètement de battre. Une autre main se posa, au niveau du reflet de mon visage avant de voir celui-ci disparaître, laissant place aux doux traits, d’abord flous puis nets du visage d’une demoiselle. Je sentais mes lèvres s’ouvrirent sous l’étonnement alors qu’elle m’offrait un sourire. Un sourire qui m’illumina à mon tour. Un sourire que je n’avais pas eu depuis des années.

Octobre 2088 : Lui donner vie, l’analyser.
J’avais bien compris qu’une femme était là, dans ce verre à attendre que je la fasse éclore comme une fleur délivrant toute sa beauté au soleil levant. Pourtant, son visage ne voulait pas réapparaitre à mon regard bien que je le recherchais plusieurs fois par jour. Je ne m’expliquais pas toute cette expérience, cette alchimie étrange qui me liait à elle. Tous ces éléments qui me sous entendaient de l’aider. Repris dans une tornade de doute je préférais en sortir, écrivant une nouvelle fois toutes les informations que j’avais pu tirer de ce corps emprisonné. J’essayais de cerner les battements de son cœur, bien que la logique n’ait ici aucune réponse à me fournir. Le peu de choses que j’avais vu ou entendu d’elle me traumatisait atrocement. Je devais impérativement la sortir de cette soute.

Octobre - Novembre 2088 : Un arrêt et un commencement tout autre.
Les battements de son cœur s’étaient tus, tuant par l’occasion mon envie empressant de la délivrer et d’en sortir tous les secrets possibles. Le plus dur pour un chercheur est de ne pas trouver. La compréhension est une fatalité que l’on ne peut avoir à chaque fois et à laquelle on s’y fait. Je laissais alors la nature reprendre ses droits tandis que le devoir de l’État m’appelait sur un autre cas scientifique : Soigner des personnes atteintes de syndromes psychologiques particuliers.

Mai 2090 : La fin d’un projet stupide.
L’activité que m’avait fournit l’État me rendait dingue. Je n’arrivais plus à cerner les problèmes psychologiques des gens. Je sentais mon âme filer entre mes doigts, alors que j’ouvrais les portes du surnaturel dans mon cerveau. J’avais complètement mis de côté la soute cryogénique alors que des patients de différents syndromes venaient dans mon bureau pour améliorer mes recherches bien que peu fructueuses. Mais avant d’abandonner complètement, faisant sortir tout le monde de mon laboratoire qui me servait aussi de demeure, j’avais complètement nettoyé mon bureau de tous papiers scientifiques. Ces deux ans avaient été longues, marquant mon visage de plus de rides que les cinq années précédentes celles-ci. Je m’asseyais sur le siège en cuir, faisant craquer sans intention mon dos. Soupirant au contact mou du siège, mes yeux se posaient sur cet espace de survie émeraude. Finalement mes paupières recouvraient mes yeux, me plongeant dans le noir. Je commençais enfin à me détendre quand les battements de mon cœur se faisaient entendre. Je l’écoutais paisiblement. Ma respiration allait danser avec le cœur qui tapait dans ma poitrine afin d’irriguer tout mon corps de se liquide chaud et rougeâtre. Mais cette résonnante n’était pas le seul compagnon de danse. Le cœur de la demoiselle se refaisait entendre. Plus persistant, plus fort, plus proche. J’ouvrais les yeux. Je devais la sortir de là, ses pensées me parlaient enfin et me conseillait alors l’attitude à adopter.

Fin Mai 2090 : Un départ trop précipité.
J’avais eu beau chercher encore et encore le moyen d’ouverture, je n’avais pas obtenu de réponse. Le moyen le plus barbare, mais aussi le plus efficace que ma tête arrivait à penser était la barre de fer qui reposait plus loin dans le labo’ pour fracturer la vitre et finalement l’éclater entièrement. J’avais d’abord hésité en brandissant ce métal froid dans mes mains puis la raison fut balayée par le besoin de savoir. J’effectuais alors les gestes que j’avais visionnés dans mon esprit pour les reproduire sans plus aucune hésitation. Le mouvement avait éclaté l’arme improvisée contre le verre qui cédait sans effort en milles morceaux tranchants. L’aspiration d’air par la soute cryogénique se faisait dès la première fissure. Je lâchais le bâton qui claqua dans un bruit à tuer les tympans alors que je me dressais pour contempler la créature en face de moi. Maintenu par des tuyaux translucides et par des bras d’acier qui agrippaient chacun de ses membres, montrant du sang séchés par la force de pression trop importante et longue. Une auréole de vapeur se formait lorsque la chaleur de la pièce ambiante venait lécher son corps nu et parfait, telle une déesse. Sa tête penchait en avant, son cou agrippé par la machine. Son visage était dissimulé sous de longues mèches de cheveux. Son corps semblait si faible que j’avais pris le plus grand soin pour la dégager et l’aider à sortir de cette prison qui a été bien trop longue pour elle. Le contact de sa peau si gelée sur la mienne m’avait fait frémir, tant par le contraste que par l’inquiétude qu’il soit trop tard pour la réanimer de cette sorte de coma glacial.

Septembre 2090 : D’un sommeil profond.
Cela faisait bien longtemps à présent qu’elle dormait sur cette table en verre, couverte d’un drap blanc et léger. Cette même table qui me servait il y a peine un an de bureau plutôt que de lit provisoire pour la jeune invitée. Je n’osais pas la réveiller. Après plusieurs analyses, tout paraissait parfait. L’allure à laquelle son cœur chantait, le nombre de globules rouges qui nourrissaient son corps et même la dilatation de son iris au cœur de ses yeux couleur or.
Mes yeux à moi caressaient souvent son corps ou son doux visage et plus aucun mot n’arrivait à être prononcé. Mais mon regard n’était pas empli d’un désir charnel, mais plutôt d’un père, bourré d’admiration pour sa fille, son propre sang et la chair de sa chair. Je la nourrissais par des seringues journalières, afin de donner les valeurs nutritives dont elle manquait. Il m’arrivait aussi de caresser son visage, dégageant ses cheveux verts. Ceux-là étaient long, lui tombant en dessous de ses fesses ; surement lié au nombre d’années enfermée dans la soute cryogène, ils avaient continués de pousser. J’avoue avoir eu du mal à la placer sur la table correctement, bien qu’elle soit légère, ayant trop peur de la blesser. Paraissant si sensible avec sa peau couleur ivoire, sa corpulence fine bien que sa taille était très convenable lui donnant une allure très élancée. Malgré mes recherches, je n’avais pas réussi à trouver pourquoi elle était enfermée dans ce cocon froid. Aucune maladie n’avait été détectée tout comme aucun problème dans son corps qui nécessitait une intervention. Cette jeune femme, aux épaules mutilées par le maintient dans la soute me paraissait d’autant plus mystérieuse qu’avant.

Septembre 2095 : Une attente interminable.
Finalement, j’avais abandonné cette histoire, alors que la vieillesse me guettait sans un arrêt du coin de l’œil. Je faisais le point sur ma vie, de mes 49 années passées sur cette terre. J’avais complètement donné corps et âme à la science, à la recherche ; et mis ma vie entièrement de côté. J’avais fait un mariage qui n’a tenu que quelques années, pour donner naissance à une enfant disparut. C’est lorsque j’admire cette inconnue allongée sur un lit, que j’avais finalement acheté pour elle afin de libérer mon bureau, que je réalisais que c’était la seule chose qui faisait partie de moi. Je la nourrissais tous les jours, j’entendais battre son cœur dans le mien. Et des fois même, peut être avec l’aide de mon imagination, je la voyais me sourire. Son corps semblait figé dans le temps, ne marquant pas celle-ci d’une vieillisse quelconque. Le mystère l’enveloppait telle la nuit qui englobe la lune pleine et blanche. Les explications ne pouvaient se trouver. Je me demande si un jour, elle se réveillera pour me montrer comment ses yeux citrins sont avec de la vie en eux. Pour donner les réponses que je souhaitais.

Avril 2100 : L’éveil.
Mon moral disparaissait au fur et à mesure des années qui passaient si rapidement. Je fus mis bien vite sur le banc de touche au niveau professionnel. Les jeunes, leur talent et leur arrogance me dérangeront toujours. J’en étais las de tout cela, la vie pompant trop de moi pour continuer à supporter ce rythme. Pourtant, je n’aurais pas pensé que cette année aurait été la meilleure pour moi.
Elle avait réalisé mon souhait le plus cher en ce matin de printemps. Ouvrant mes yeux en même temps que les siens. Sa beauté en était que parfaite et son sourire, tant de fois imaginé s’offrait enfin à moi, malgré les longs doigts fins qui se crispaient sur les draps blancs et l’inquiétude qui arrivait à se lire dans ses yeux.



CHAPITRE II
Le commencement.


J’ouvrais péniblement les yeux, qui croisaient ceux d’un homme aux cheveux blancs et à la barbe naissante de même couleur. J’avais presque pris peur quand mon cerveau analysa son sourire si sincère, celui d’un père. Je me redressais pour explorer les lieux d’un regard curieux avant de cerner les draps blancs posés sur moi entre mes doigts. Il s’approchait pour passer une main sur ma joue et de m’embrasser délicatement le front. Je regardais mon corps, que je ne reconnaissais pas. Prise d’angoisse, je retournais les paumes vers mon visage, avant d’entendre une voix inconnue elle aussi sortir de ma bouche.

_ Qui suis-je ?

J’arrivais à voir sa main se guider dans mes cheveux alors qu’elle restait pourtant à caresser ma joue. Quelques secondes après ma vision se réalisaient et sa main se logea dans mes cheveux verts et longs. Mon cœur s’arrêtait lorsque je compris qu’il allait pour me rassurer dans quelques secondes.

_ Ne t’inquiètes pas, tu es en sécurité ici.


Je comprenais avant même qu’il pose sa main sur mon épaule pour m’allonger ce qu’il avait l’attention de faire. Une larme chaude sortie de mon œil sans retenue. Ma tête tournait affreusement par se réveille confus et bien trop brusque. Tout paraissait si étrange, comme si j’étais à un endroit où je n’aurais pas dû me tenir à l’heure actuelle. Je n’arrivais pas non plus à m’expliquer comment je pouvais prédire le comportement ou les paroles.
Je fermais les yeux pour retomber dans le chaos absolu d’où j’étais née.

***


Dans mon sommeil, l’écho d’une voix sonnait dans mes oreilles, chatouillant mon cerveau qui ne saisissait pas réellement les mots.

« Tu seras nommée Aphrodite CoulCris. Tu es ma découverte, mais on te nommera comme étant la fille que je n’ai jamais eue la chance d’avoir à cause de sa disparition. Ton corps, combiné à mes analyses stipulent que tu as à peine 20 ans. Tu n'es plus vierge. Ta chair comporte plusieurs blessures physiques, comme des cicatrices au coin de ton œil, des marques de brûlures autour de tes épaules et cuisses lié à la pression de ton maintien dans la soute cryogénique. Tes yeux citrins ont captés la couleur du soleil tandis que tes cheveux ont calqués la couleur de la nature. Je voulais des réponses aux énièmes questions que je me posais sur toi, mais j’ai cru comprendre que tu en savais bien moins que moi… »

Les mots défilaient au rythme des douces caresses qui pressaient mon cœur à battre un peu plus fort. Je n’arrivais pas à comprendre, ni même répondre. Mon corps semblait totalement démuni de force et ne souhaitant pas obéir. Je ne pouvais sourciller, ni même lever la main pour la poser sur la sienne. Je voulais lui sourire et le voir pour me rassurer.

« Si je t’ai nommée Aphrodite, ce n’est pas du tout anodin… Déesse de la mythologie Grecque, pays d’où tu viens. Elle se révèle être une femme magnifiquement envoutante, pleine de mystère. Ton corps cerné dans un drap blanc ou même nue soulignait à l’identique les courbes généreuses que les statuts en représentation de la divinité. Une petite colombe s’est dessinée sur la pierre qui cernait ton sarcophage de survie et cet animal est défini pour être celui dont la déesse est éprise. »

Les mots collaient tendrement aux oreilles d’Aphrodite alors qu’un sourire s’afficha enfin sur son visage avant de plonger dans un sommeil profond.

***


Je déglutis difficilement. Je regardais autour de moi pour comprendre que j’étais enfermée dans une boite immergé dans le froid. Mon corps cerner dans cette machine monstrueuse qui enfermait mes membres et me comprima le cœur d’un stress naissant. Je ne comprenais pas réellement la situation. Moi qui croyais être sorti de cette sphère, m’y revoilà plongée. Je bougeais mon épaule gauche alors que la droite se voyait prendre une sévère décharge, me bloquant un peu plus contre la structure. J’avais tellement mordu ma lèvre sous le coup de l’électrocution que le sang s’infiltra dans ma bouche alors qu’un filament s’écoula sur le coin de ma bouche. Prise de panique un cri s’éleva de ma bouche. Les liens métalliques se resserraient sur mes membres avec une telle pression que ma chaire s’en vue déchirée. L’odeur du sang imprégnait la prison en même temps que mes larmes coulaient de mes yeux.
Une main se bloqua sur ma bouche alors que je me redressais violemment. Le médecin était là, l’air inquiet. Sa main coupait ma respiration et je m’en dégageais avec de violant à-coups. Reprenant un souffle avec difficulté, j’examinais ses yeux avant de me mettre à pleurer et prendre mon visage dans mes mains. J’avais revécu l’enfer, celui-ci faisait partie de moi, il était gravé dans ma peau. Je ne connaissais pas mon passé et je ne pouvais me baser que sur mon présent pour construire mon futur. Des bras chauds m’entouraient alors que je me laissais rendormir dans ceux là.

***


Lorsque je me suis réveillée, j’avais le corps totalement engourdit mais beaucoup plus fort malgré cette impression. Des tuyaux vides sortaient de mes bras. Mes yeux clignèrent plusieurs fois pour avoir une vision moins flou alors que je me relevais avec gêne, retirant les tubes transparents de ma peau, laissant le sang se diffuser sur mes avants bras. J’inspectais les lieux avant de demander si quelqu’un se trouvait là. La seule réponse fut l’écho de ma voix. Je descendais de la table chirurgicale alors que mes jambes tremblaient sous le poids de mon corps. On avait pris le soin de me mettre une chemise blanche assez longue pour recouvrir ma culotte et jusqu’au milieu de mes cuisses. La sensation d’être debout me déstabilisait. Je fis un pas puis deux. Le contact froid du carrelage me fit frissonner à chaque part alors que le sourire ne tombait pas de mes lèvres. Je continuais de marcher, faisant le tour d’un bureau ou un tas de papier se chamaillait un centimètre pour ne pas tomber. Mes doigts effleuraient les papiers et certains en tombaient alors que je ne m’en souciai pas. Je n’avais pas marché pendant si longtemps. Reprendre une pleine possession de mon corps ne me lassa pas d’inspirer en moi un bonheur immense. Je continuais ma marche et le plaisir de retrouver une motricité qui me manquait. Mes jambes prenaient un peu plus de force et je me suis mise sur la pointe des pieds, de façon à marcher en hauteur, déhanchant tout mon corps avec une vague de bonheur. Je rêvais dans la pièce avant de m’attarder sur la porte métallique qui se trouvait à ma gauche. Reprennent mon sérieux et mon équilibre en place mes pieds correctement au sol je me dirigeais vers la porte. J’appuyais d’abord mon oreille contre la porte puis la paume de ma main, au cas où la porte s’ouvrait subitement. Aucun son n’était émis depuis la dite pièce et je me décidais à tourner la poignée ronde. Mes doigts l’entouraient délicatement puis la fit basculer dans un cliquetis sourd qui entra dans le silence afin de le briser.
La pièce complètement submergé par le noir me fit frissonner d’envie de couvrir ce qui pouvait s’y dissimuler. De mes doigts je tâtais le mur de la pièce juste à côté de la porte pour tenter de trouver un interrupteur. Ma demande fut accordée. La pièce baignait instantanément dans une lumière inventée et tamisée par l’homme. L’endroit était assez petit alors que je détaillais un lit et une armoire. Le mobilier manquait, mais je n’y prêtais pas plus d’attention voyant sur le lit quelques vêtements disposés en vrac. J’avançais sur le parquet qui craquait avec douleur alors que je faisais glisser ma chemise le long de mon corps le délivrant par ailleurs à la langue des courants d’air audacieux. Arriver au niveau des vêtements, je les ai saisi avec hâte pour les enfiler. Un tee-shirt noir, une veste kaki et un jean noir. Un peu large pour mon corps, mais me permettais d’être libre de mes mouvements.
Je me retournais pour voir l’armoire et en l’ouvrant par curiosité, un miroir se donna à moi. Je m’examinai lentement. Mes yeux jaunes reflétaient un mal-être certain en plus d’être cernés de fatigue. Mes cheveux avaient pris le soin d’être coupés, surement par le médecin. Ils m’arrivaient à présent à la taille. Je les caressais un instant avant de me lancer dans la recherche de chaussettes. Bien que je ne veuille pas en mettre, je voulais les garder dans une des poches de la veste. Après une recherche fructueuse mon regard s’attarda une nouvelle fois sur mon reflet. Je posais une main sur ma joue un peu creusée puis me tenait de profil pour admirer un peu plus cette silhouette svelte.

_ Bonjour Mademoiselle CoulCris. Murmurais-je avant de renfermer la porte dans un crissement.



Apologue
L’incompréhension de l’abandon.


Je me dirigeais vers la sortie. Mes jambes avançaient et supportaient toujours le poids de mon corps avec peine. Au final, j’ouvrais la porte, m’éclatant une lumière violente dans les yeux, m’obligeant à me protéger de mon avant bras, tandis que l’autre fit cerner par une main ferme pour me tirer en avant. Je m’écroulai, reversant par ailleurs ce vieux monsieur aux allures chic. Sans me tenir vraiment coupable, il m’enlaça. Je ne pouvais m’empêcher de rougir et de me laisser faire à ses actes démonstratifs.
Je ne comprenais pas bien la situation. L’incertitude de ne pas non plus pouvoir calculer et déterminer les futurs agissements cerna mon estomac dans la peur. J’aurais dû prévoir cela et pourtant aucun signe ne m’avait été décerné.
Ses bras me délivraient alors qu’il reprit sa route sans se retourner. J’étais assise par terre alors que je ne savais déjà plus les traits de son visage. Je me relevais avec difficulté. Les gens s’afféraient à leur trajet respectif avec une allure soutenue. Je tapotais mes mains l’une contre l’autre pour enlever les grains de terre alors que je remettais à remarcher dans la rue.
Lorsque mon regard se posait sur des gens, je cernais ce qu’il disait, leur attitude qui décrivait leur état d’esprit et leurs sentiments. Ma respiration reprenait petit à petit son calme alors que mon aptitude à comprendre et interpréter les comportements revenait en moi. J’étais seule depuis bien trop longtemps et je n’avais plus vu le mystérieux médecin qui m’avait sauvé. J’ai réussi à m’immiscer dans son journal de bord. Son mot de passe étant mon prénom et cela m’avait apporté un certain sourire de la fierté. J’ai alors lu tout son journal qui s’est arrêté subitement à la date de mon réveille. Je comprenais alors à présent tous les efforts qu’il avait pu faire pour moi, la vie qu’il a donnée pour moi et « me remettre en vie ». Les larmes avaient envahi mes yeux. Il me manquait tellement. Ma respiration était saccadée et j’avais mal au cœur. C’était comme mon père et pourtant il m’a abandonné. J’essuyais du revers de ma main une larme qui s’écoulait le long de ma joue. Je la regardais glisser le long de ma peau et tomber de ma main pour s’écraser sur les touches du clavier. Je Le dos de ma main était encore humide et j’y passais un index. Il avait intégré en moi une puce obligatoire en me déclarant comme étant sa fille qui avait fugué voilà il y a 12 ans. Il avait clairement expliqué mon identité comme telle :


Aphrodite CoulCris.
Fille de mère inconnue
Fille de père Dr Georges CoulCris.
Né le 23 Août 2080
Retrouvée en Avril 2100
20 ans.
Etudiante en Psychologie et science du comportement


Mon futur se baserait donc sur de purs mensonges, volant l’identité de quelqu’un pour essayer de vivre correctement. Je relevais la tête. Le soleil ne cessait de m’accoler de caresses alors que mes pas se dirigeaient vers lui. Je ne savais pas trop ou aller ni ce que je pourrais faire de cette vie, que je dois commencer seule. Il avait disparu il y a plus de deux semaines. J’avais laissé un mot sur un bout de papier, expliquant que je reviendrais ici de temps à autre, voir s’il était revenu. Je lui disais aussi clairement que je n’avais pas l’espoir qu’il pouvait revenir et que cela me faisait terriblement souffrir.
Je soupirais en pensant à ma main tremblante qui écrivait sur ce bout de papier avant de lui « emprunter » quelques pièces et billets afin de vivre convenablement le temps de trouver un métier.


Dernière édition par Aphrodite CoulCris le Sam 12 Fév - 14:30, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeSam 8 Jan - 19:31

Je te prierais, s'il te plaît, de mettre dans ton pseudo ton prénom et ton nom =).
Merci !
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeVen 21 Jan - 18:17

Alors, jeune fille, où en es-tu ? Ca n'a pas l'air de beaucoup avancer ! Si d'ici mercredi je n'ai pas de réponse, j'archive.
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeVen 21 Jan - 18:23


Désolée, avec les partiels c'est assez prenant. Mets moi en archive le temps que je finisse mes épreuves si tu veux (Et si je peux la récupérer ensuite ^^). J'en ai pour une semaine environ encore. =)
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeVen 21 Jan - 18:27

Non, pas de problèmes ^.^. Tu peux pas, tu peux pas. J'attendrais donc ! (Quelle abnégation. Je me sens digne d'une tragédie grecque).
Poste une absence si jamais tu as encore du mal après !
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitimeSam 12 Fév - 15:39

Voilà, c'était pour dire que j'ai pas mal avancé. Very Happy
Par contre la description psychologique va venir dans le week-end normalement.
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MessageSujet: Re: Aphrodite CoulCris.    Aphrodite CoulCris.  I_icon_minitime

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